Alors que le monde entier est touché par la pandémie, le pays et plus largement l’Europe (continent le plus touché actuellement avec les Etats-Unis) disposent de moyens médicaux supérieurs aux pays émergents et les pays pauvres, dont on entend beaucoup moins parler. Qu’en est-il de leur situation ? Quelles mesures sont prises ?
Des pays aux problèmes multiples
Il apparaît que l’Afrique, ainsi que ses îles telles que les Comores ou bien Madagascar, est l’un des derniers continents à être touché par la pandémie de Covid-19. Cependant, cela n’est pas pour autant synonyme d’impact moindre du virus sur la population. Citée aussi dans ce même contexte l’Inde, l’un des pays les plus pauvres du monde. Face à ce recensement parfois morbide, certains états ont bien du mal à remonter des informations, tel que Sao Tomé-et-Principe, petit archipel de l’Océan Atlantique, qui n’a pas les moyens de dépister ses ressortissants. Et là se trouve le premier problème des pays dits « pauvres » : le peu de moyens qui se traduit par un manque médical évidemment, d’accès à l’information mais surtout financier d’où découlent les autres problèmes.
Cela n’est pas près de s’arranger, puisque ce n’est pas moins de 60 milliards de dollars qui ont été retirés des capitaux par les pays plus riches, qui donnent comme résultat la chute des cours des devises. Ajouté à cela la chute inévitable du tourisme et du commerce, ainsi que du pétrole, ces pays se trouvent face à un mur presque infranchissable.
Pas de problèmes mais que des solutions ?
Face à cela, quelles mesures peuvent donc être prises pour éviter avant tout un désastre humain, bien avant l’économie et les récessions ? Cela passe bien sûr par l’éducation et promouvoir les gestes barrières freinant la propagation ainsi que la distribution de matériel sanitaire, de savon et un accès meilleur à l’eau, lorsque cela est possible, par le gouvernement mais aussi par des associations présentes sur le terrain. Cela ne suffit évidemment pas et se retrouve vite confronté à un problème de taille : la peur.
En prenant l’exemple de l’Inde, ce sont des milliers de personnes qui affluent sur les routes lors de fuites massives ou bien de rassemblements géants pour avoir accès à de la nourriture, ce qui donne lieu à une inefficacité totale des mesures sanitaires.
Les aides en première ligne
Pour tenter de contrecarrer ces faits, la plus petite goutte peut mener aux grandes rivières, c’est pour cela que des associations, comme de grands groupes et particuliers viennent en aide à ces populations fragiles. Leurs actions permettent d’aider les populations qui sont le plus dans le besoin en leur apportant nourriture et autres biens de première nécessité comme de l’équipement médical
Comment soutenir ces actions ?
Eh bien pour commencer, n’hésitez pas à faire des dons, même de petits montants mis bout à bout peuvent faire la différence.
Sachez, en plus, que les dons aux associations permettent de bénéficier d’une réduction sur les impôts, une raison en plus pour le faire en plus de la générosité et de la bienveillance. Ils pourront permettre de mettre en place des actions de prévention en s’engageant à donner un meilleur accès aux ressources de première nécessité pour les pays qui en ont le plus besoin actuellement et qui pourraient de ce fait freiner la propagation de cette pandémie et qui n’a pas fini de faire parler d’elle. C’est grâce à l’entraide que les plus pauvres pourront en sortir.